Si l’on pense généralement à bien s’hydrater en été, on a tendance à perdre ce réflexe avec l’arrivée du froid. À quelques jours de l’ouverture de la saison des sports d’hiver, il est bon de rappeler l’importance de l’hydratation en hiver pour des vacances sportives en toute sérénité !
L’hiver aussi, le corps se déshydrate
Durant la période des sports d’hiver, l’organisme est mis à rude épreuve et doit fournir des efforts conséquents tout en affrontant le froid. Le corps va ainsi produire de la chaleur afin d’élever sa température interne. Cependant, l’accumulation de couches de vêtements et des efforts physiques intenses peuvent entraîner rapidement une “surchauffe” de l’organisme et des pertes hydriques importantes. À noter que le phénomène d’évaporation de l’eau par voie cutanée (transpiration) s’accentue avec un air froid et sec.
Autre conséquence du froid hivernal : les vaisseaux sanguins se contractent, la circulation du sang diminue et, avec elle, les apports en eau véhiculés par le sang ce qui entraîne une déshydratation. En outre, les conditions climatiques hivernales n’incitent pas à boire et la sensation de soif se fait moins ressentir. Le risque de déshydratation est alors réel avec son cortège de désagréments.
Les conséquences d’une déshydratation en hiver
Avec la chute des températures, un taux d’humidité faible et un air sec, le corps est soumis au même stress hydrique qu’en été et lors d’épisodes caniculaires. La déshydratation peut ainsi avoir des conséquences graves sur les fonctions motrices et les performances cognitives et engendrer différents troubles qu’il ne faut pas prendre à la légère :
- fatigue
- maux de tête et migraines
- vertiges
- baisse de la tension artérielle
- nausées et vomissements
- confusion et perte de conscience
- douleurs musculaires et crampes
- état de faiblesse
- transit ralenti et constipation
- dessèchement de la peau
Les sportifs sont amenés à perdre beaucoup d’eau lors d’entraînements et de compétitions ce qui les expose, s’ils ne boivent pas assez, à une moins bonne tolérance à l’effort et par conséquent une diminution des performances sportives. Dans le cas où la déshydratation s’accentue, des blessures peuvent survenir notamment tendinites, claquages, élongations musculaires…
Les besoins hydriques en hiver
Une bonne hydratation est le garant de notre équilibre physiologique. Pour assurer le bon fonctionnement de l’organisme, il est conseillé de boire entre 1,5 et 2 litres d’eau par jour, et ce quelle que soit la saison. Ce repère correspond à la différence entre ce que nous éliminons au quotidien (2 litres d’eau chez la femme et 2,5 litres chez l’homme sont éliminés par les urines, la respiration, la transpiration et les selles) et ce que nous absorbons par le biais de notre alimentation (environ 1 litre).
Que l’on pratique la randonnée, le ski de piste ou de fond ou encore la balade en raquettes, pour s’assurer une hydratation optimale, l’un des bons réflexes consiste à se munir d’une bouteille d’eau et d’en consommer régulièrement. Attention : la question de l’hydratation ne se pose pas seulement durant la phase d’exercice physique. Il est ainsi recommandé de boire après l’activité physique car la perte en eau occasionnée par la transpiration se poursuit dans le temps.
Velleminfroy, pour une récupération optimale de l’effort
La déshydratation est la première cause de contre-performance chez le sportif. Pour 1 litre d’eau non renouvelée, l’organisme perd 20% de ses capacités physiques. L’eau de Velleminfroy est particulièrement recommandée pour les sportifs puisqu’elle compense les pertes en minéraux liées à la transpiration, utiles pour la réhydratation du corps.
Source : monographie scientifique Dr Recchia (Preidis)